Le ministre italien des Transports, Matteo Salvini, a confirmé avoir aimé des publications de la chanteuse Clara, qui s'est fait connaître au Festival de musique de Sanremo. La révélation est survenue après que Clara a mentionné en plaisantant dans une interview que Salvini pourrait l'amender pour des infractions au code de la route, ajoutant : "Il aime mes publications la nuit."
Le commentaire a suscité la curiosité et des spéculations, incitant Salvini à aborder la question. Il a admis avoir aimé les publications de Clara, expliquant qu'il aimait souvent le contenu qu'il trouvait attrayant, quel que soit le créateur. "Je ne l'ai pas nié", a déclaré Salvini, ajoutant qu'il ne suivait même pas Clara mais qu'il était tombé sur ses publications. Il a précisé qu'il naviguait généralement sur Instagram le soir après le travail et que son activité sur les réseaux sociaux n'impliquait aucun intérêt personnel au-delà de l'appréciation de sa musique.
L'incident met en évidence l'évolution de la relation entre les politiciens, la culture populaire et les réseaux sociaux. Alors que des plateformes comme Instagram offrent aux personnalités publiques une chance de se connecter avec le public, elles créent également des opportunités de malentendus et de commérages.