Dans une crise environnementale significative, la SNCF en France fait face à des critiques concernant ses projets d'abattre illégalement de nombreux arbres le long du Canal Latéral à Toulouse. Prévue du 9 au 11 novembre 2024, cette opération fait partie d'un projet ferroviaire plus large menaçant la biodiversité locale, y compris les habitats de faune protégée.
Des groupes environnementaux ont tiré la sonnette d'alarme, arguant que les actions de la SNCF violent le Code de l'environnement français, qui impose une autorisation explicite pour de tels abattages d'arbres. Des militants occupent désormais les arbres pour empêcher la destruction, soulignant la nécessité de protéger l'écosystème local et appelant à une intervention immédiate des autorités régionales.
Parallèlement, en Australie du Sud, le gouvernement de l'État a lancé la campagne 'Volé, Traficé et Souffrant' pour lutter contre le commerce illégal de la faune native. Cette initiative vise à sensibiliser le public aux responsabilités légales liées à la possession de la faune et à encourager le signalement des activités illégales.
Avec le trafic d'animaux sauvages représentant le quatrième crime organisé le plus important au monde, le gouvernement sud-australien prend position pour protéger sa biodiversité unique. La campagne souligne l'importance de l'implication de la communauté dans la protection des espèces natives et insiste sur le fait que la possession illégale de la faune peut entraîner de lourdes sanctions.
Ces deux événements soulignent l'urgence d'une action mondiale pour protéger la flore et la faune contre des pratiques destructrices et le commerce illégal qui menacent la biodiversité et l'équilibre écologique.