Une étude récente de l'Université de la Ville de Hong Kong (CityUHK) explore les opinions du public concernant la population de buffles d'eau sauvages du sud de l'île de Lantau. La recherche, publiée dans *People and Nature* en juillet 2025, met en lumière la diversité des points de vue des résidents de Hong Kong sur ces animaux, soulevant des questions similaires à celles que l'on peut rencontrer avec la gestion de la faune sauvage en Camargue ou dans les zones rurales françaises.
L'étude, intitulée "Attitudes et valeurs du public concernant un ongulé sauvage semi-urbain", a impliqué 657 participants. La collecte de données a inclus des enquêtes en ligne et des entretiens en personne menés entre fin 2023 et début 2024. On pourrait comparer cette approche à des études menées en France sur l'acceptation des loups ou des ours dans les Pyrénées.
L'étude identifie quatre domaines clés de l'opinion publique. Il s'agit notamment de l'appréciation, des préoccupations concernant les impacts sur la communauté, de la valeur perçue pour la conservation et des perceptions individuelles. Les facteurs démographiques influencent également ces points de vue, un peu comme les clivages que l'on observe en France entre les citadins et les ruraux sur les questions environnementales.
L'étude souligne l'importance de prendre en compte l'opinion publique pour gérer la population de buffles. Cette approche vise à assurer une coexistence harmonieuse entre les humains et la faune. La recherche de CityUHK comprend également des études antérieures sur la dynamique sociale des buffles, un aspect crucial pour une gestion durable, à l'image des efforts déployés en France pour préserver la biodiversité.
Comprendre ces dynamiques sociales est essentiel pour une conservation efficace. Cela contribue également à promouvoir le bien-être animal. Pour plus de détails, visitez le site Web du projet Buffalo de CityUHK.