Une étude récente sur Maria Branyas, la personne la plus âgée du monde décédée à 117 ans, offre des perspectives sur la longévité. Les chercheurs ont analysé ses gènes, ses protéines, son microbiome et son métabolisme, découvrant plusieurs facteurs contribuant à son exceptionnelle longévité. * **Style de vie :** Maria a maintenu un style de vie mentalement, socialement et physiquement actif, passant du temps avec ses proches et suivant un régime de type méditerranéen, incluant du yaourt. * **Santé intestinale :** Son régime alimentaire a favorisé des bactéries intestinales saines, lui conférant un microbiome intestinal caractéristique d'une personne beaucoup plus jeune. La santé intestinale est cruciale pour la santé globale, affectant le métabolisme, l'inflammation et même la fonction cognitive. * **Génétique :** Maria possédait des gènes associés à un système immunitaire fort, une protection contre les maladies cardiaques et une réduction du risque de cancer. * **Âge biologique :** L'analyse de la méthylation de l'ADN a révélé que l'âge biologique de Maria était significativement plus jeune que son âge chronologique. * **Métabolisme et inflammation :** Elle présentait un métabolisme efficace avec des niveaux de cholestérol favorables et une faible inflammation. L'étude suggère qu'un âge extrême et une mauvaise santé ne sont pas nécessairement liés. Comprendre ces facteurs peut aider à améliorer la santé au grand âge et à maximiser le potentiel du corps pour un vieillissement sain.
Décryptage de la longévité : L'étude de la personne la plus âgée du monde révèle des pistes pour un vieillissement sain et une durée de vie prolongée
Édité par : Liliya Shabalina lilia
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